Rencontre avec Gonzalo Mendez

“Faire du pain est une forme de mĂ©ditation pour moi,” Gonzalo Mendez

Boulanger junior chez Pane Vivo Gonzalo Mendez, 39 ans, est autodidacte. Il a commencé à faire du pain au levain comme passe-temps relaxant dans son Argentine natale.

Je suis nĂ© Ă  Buenos Aires, mais j’ai grandi dans une ferme en Argentine. Nous avions des chevaux, des vaches, du maĂŻs, plein de choses diffĂ©rentes. Le pain a toujours fait partie de ma vie. Dans la ferme oĂč j’ai grandi, la ville la plus proche pour acheter du pain Ă©tait Ă  30 minutes en voiture. Alors avec ma mĂšre, nous faisions du pain Ă  la ferme. Quand je travaillais Ă  Buenos Aires, j’ai perdu l’habitude de faire du pain. J’ai recommencĂ© quand j’ai rencontrĂ© ma petite amie française, car les français ont besoin de pain. J’ai trouvĂ© un livre sur la fermentation naturelle Ă  la bibliothĂšque, et je me suis intĂ©ressĂ© Ă  faire mon propre levain et pain.

 

Lorsqu’il a suivi sa petite amie Ă  Paris, il a Ă©tĂ© déçu par la plupart des baguettes qu’il a achetĂ©es. 

 

Je pensais que le pain allait ĂȘtre incroyable dans toutes les boulangeries. Je pensais que j’allais trouver du trĂšs bon pain, comme celui que je faisais Ă  la maison. Mais je me suis rendu compte que les pains sont plus industriels avec des levures industrielles. C’Ă©tait une sorte de dĂ©ception. J’ai donc dĂ©cidĂ© de chercher de trĂšs bonnes boulangeries Ă  Paris ; j’ai fait beaucoup de recherches, et je me suis beaucoup baladĂ©. J’ai fait une petite liste des boulangeries qui font du pain au levain. Et je suis allĂ© les voir une par une pour leur demander si elles embauchaient.

 

J’ai fait un stage chez Pane Vivo en dĂ©cembre 2020 et j’ai fait quelques extras avant de devenir boulanger junior en fĂ©vrier 2021. Au dĂ©but, c’Ă©tait difficile car je ne savais travailler qu’avec du blĂ© tendre, j’ai donc dĂ» me rĂ©adapter Ă  la farine de blĂ© dur. J’avais lu beaucoup de livres sur le levain et la thĂ©orie [‘Tartine Bread’ de Chad Robertson, ‘Bread’ de Jeffrey Hamelman et ‘Flour Water Salt Yeast’ de Ken Forkish]. Donc il s’agissait juste de mettre en pratique et d’apprendre Ă  le faire plus rapidement. Chez Pane Vivo, ce n’est pas toujours aussi relaxant. Mais quand je suis avec la pĂąte, je suis juste dans ma tĂȘte avec mes pensĂ©es, je fais juste du pain, et je me dĂ©tends. Pour moi, faire du pain est comme une forme de mĂ©ditation. C’est une façon de se dĂ©tendre, de se relaxer parce qu’il faut avoir du temps pour faire du pain au levain.

 

Maintenant, Gonzalo envisage maintenant de passer dĂ©finitivement de l’industrie du vin, oĂč il travaillait Ă  Buenos Aires, Ă  la boulangerie.

 

Je voulais retrouver un emploi dans le secteur du vin, mais c’Ă©tait difficile car mon français n’est pas trĂšs bon. J’ai donc dĂ©cidĂ© d’essayer un nouveau mĂ©tier : boulanger. C’est un travail physique, mais je vais y rester pendant un certain temps. Pour l’avenir, je suis ouvert.


Rencontre avec Gonzalo Mendez

“Faire du pain est une forme de mĂ©ditation pour moi,” Gonzalo Mendez

Boulanger junior chez Pane Vivo Gonzalo Mendez, 39 ans, est autodidacte. Il a commencé à faire du pain au levain comme passe-temps relaxant dans son Argentine natale.

Je suis nĂ© Ă  Buenos Aires, mais j’ai grandi dans une ferme en Argentine. Nous avions des chevaux, des vaches, du maĂŻs, plein de choses diffĂ©rentes. Le pain a toujours fait partie de ma vie. Dans la ferme oĂč j’ai grandi, la ville la plus proche pour acheter du pain Ă©tait Ă  30 minutes en voiture. Alors avec ma mĂšre, nous faisions du pain Ă  la ferme. Quand je travaillais Ă  Buenos Aires, j’ai perdu l’habitude de faire du pain. J’ai recommencĂ© quand j’ai rencontrĂ© ma petite amie française, car les français ont besoin de pain. J’ai trouvĂ© un livre sur la fermentation naturelle Ă  la bibliothĂšque, et je me suis intĂ©ressĂ© Ă  faire mon propre levain et pain.

 

Lorsqu’il a suivi sa petite amie Ă  Paris, il a Ă©tĂ© déçu par la plupart des baguettes qu’il a achetĂ©es. 

 

Je pensais que le pain allait ĂȘtre incroyable dans toutes les boulangeries. Je pensais que j’allais trouver du trĂšs bon pain, comme celui que je faisais Ă  la maison. Mais je me suis rendu compte que les pains sont plus industriels avec des levures industrielles. C’Ă©tait une sorte de dĂ©ception. J’ai donc dĂ©cidĂ© de chercher de trĂšs bonnes boulangeries Ă  Paris ; j’ai fait beaucoup de recherches, et je me suis beaucoup baladĂ©. J’ai fait une petite liste des boulangeries qui font du pain au levain. Et je suis allĂ© les voir une par une pour leur demander si elles embauchaient.

 

J’ai fait un stage chez Pane Vivo en dĂ©cembre 2020 et j’ai fait quelques extras avant de devenir boulanger junior en fĂ©vrier 2021. Au dĂ©but, c’Ă©tait difficile car je ne savais travailler qu’avec du blĂ© tendre, j’ai donc dĂ» me rĂ©adapter Ă  la farine de blĂ© dur. J’avais lu beaucoup de livres sur le levain et la thĂ©orie [‘Tartine Bread’ de Chad Robertson, ‘Bread’ de Jeffrey Hamelman et ‘Flour Water Salt Yeast’ de Ken Forkish]. Donc il s’agissait juste de mettre en pratique et d’apprendre Ă  le faire plus rapidement. Chez Pane Vivo, ce n’est pas toujours aussi relaxant. Mais quand je suis avec la pĂąte, je suis juste dans ma tĂȘte avec mes pensĂ©es, je fais juste du pain, et je me dĂ©tends. Pour moi, faire du pain est comme une forme de mĂ©ditation. C’est une façon de se dĂ©tendre, de se relaxer parce qu’il faut avoir du temps pour faire du pain au levain.

 

Maintenant, Gonzalo envisage maintenant de passer dĂ©finitivement de l’industrie du vin, oĂč il travaillait Ă  Buenos Aires, Ă  la boulangerie.

 

Je voulais retrouver un emploi dans le secteur du vin, mais c’Ă©tait difficile car mon français n’est pas trĂšs bon. J’ai donc dĂ©cidĂ© d’essayer un nouveau mĂ©tier : boulanger. C’est un travail physique, mais je vais y rester pendant un certain temps. Pour l’avenir, je suis ouvert.


Rencontre avec Gonzalo Mendez

“Faire du pain est une forme de mĂ©ditation pour moi,” Gonzalo Mendez

Boulanger junior chez Pane Vivo Gonzalo Mendez, 39 ans, est autodidacte. Il a commencé à faire du pain au levain comme passe-temps relaxant dans son Argentine natale.

Je suis nĂ© Ă  Buenos Aires, mais j’ai grandi dans une ferme en Argentine. Nous avions des chevaux, des vaches, du maĂŻs, plein de choses diffĂ©rentes. Le pain a toujours fait partie de ma vie. Dans la ferme oĂč j’ai grandi, la ville la plus proche pour acheter du pain Ă©tait Ă  30 minutes en voiture. Alors avec ma mĂšre, nous faisions du pain Ă  la ferme. Quand je travaillais Ă  Buenos Aires, j’ai perdu l’habitude de faire du pain. J’ai recommencĂ© quand j’ai rencontrĂ© ma petite amie française, car les français ont besoin de pain. J’ai trouvĂ© un livre sur la fermentation naturelle Ă  la bibliothĂšque, et je me suis intĂ©ressĂ© Ă  faire mon propre levain et pain.

 

Lorsqu’il a suivi sa petite amie Ă  Paris, il a Ă©tĂ© déçu par la plupart des baguettes qu’il a achetĂ©es. 

 

Je pensais que le pain allait ĂȘtre incroyable dans toutes les boulangeries. Je pensais que j’allais trouver du trĂšs bon pain, comme celui que je faisais Ă  la maison. Mais je me suis rendu compte que les pains sont plus industriels avec des levures industrielles. C’Ă©tait une sorte de dĂ©ception. J’ai donc dĂ©cidĂ© de chercher de trĂšs bonnes boulangeries Ă  Paris ; j’ai fait beaucoup de recherches, et je me suis beaucoup baladĂ©. J’ai fait une petite liste des boulangeries qui font du pain au levain. Et je suis allĂ© les voir une par une pour leur demander si elles embauchaient.

 

J’ai fait un stage chez Pane Vivo en dĂ©cembre 2020 et j’ai fait quelques extras avant de devenir boulanger junior en fĂ©vrier 2021. Au dĂ©but, c’Ă©tait difficile car je ne savais travailler qu’avec du blĂ© tendre, j’ai donc dĂ» me rĂ©adapter Ă  la farine de blĂ© dur. J’avais lu beaucoup de livres sur le levain et la thĂ©orie [‘Tartine Bread’ de Chad Robertson, ‘Bread’ de Jeffrey Hamelman et ‘Flour Water Salt Yeast’ de Ken Forkish]. Donc il s’agissait juste de mettre en pratique et d’apprendre Ă  le faire plus rapidement. Chez Pane Vivo, ce n’est pas toujours aussi relaxant. Mais quand je suis avec la pĂąte, je suis juste dans ma tĂȘte avec mes pensĂ©es, je fais juste du pain, et je me dĂ©tends. Pour moi, faire du pain est comme une forme de mĂ©ditation. C’est une façon de se dĂ©tendre, de se relaxer parce qu’il faut avoir du temps pour faire du pain au levain.

 

Maintenant, Gonzalo envisage maintenant de passer dĂ©finitivement de l’industrie du vin, oĂč il travaillait Ă  Buenos Aires, Ă  la boulangerie.

 

Je voulais retrouver un emploi dans le secteur du vin, mais c’Ă©tait difficile car mon français n’est pas trĂšs bon. J’ai donc dĂ©cidĂ© d’essayer un nouveau mĂ©tier : boulanger. C’est un travail physique, mais je vais y rester pendant un certain temps. Pour l’avenir, je suis ouvert.


Rencontre avec Gonzalo Mendez

“Faire du pain est une forme de mĂ©ditation pour moi,” Gonzalo Mendez

Boulanger junior chez Pane Vivo Gonzalo Mendez, 39 ans, est autodidacte. Il a commencé à faire du pain au levain comme passe-temps relaxant dans son Argentine natale.

Je suis nĂ© Ă  Buenos Aires, mais j’ai grandi dans une ferme en Argentine. Nous avions des chevaux, des vaches, du maĂŻs, plein de choses diffĂ©rentes. Le pain a toujours fait partie de ma vie. Dans la ferme oĂč j’ai grandi, la ville la plus proche pour acheter du pain Ă©tait Ă  30 minutes en voiture. Alors avec ma mĂšre, nous faisions du pain Ă  la ferme. Quand je travaillais Ă  Buenos Aires, j’ai perdu l’habitude de faire du pain. J’ai recommencĂ© quand j’ai rencontrĂ© ma petite amie française, car les français ont besoin de pain. J’ai trouvĂ© un livre sur la fermentation naturelle Ă  la bibliothĂšque, et je me suis intĂ©ressĂ© Ă  faire mon propre levain et pain.

 

Lorsqu’il a suivi sa petite amie Ă  Paris, il a Ă©tĂ© déçu par la plupart des baguettes qu’il a achetĂ©es. 

 

Je pensais que le pain allait ĂȘtre incroyable dans toutes les boulangeries. Je pensais que j’allais trouver du trĂšs bon pain, comme celui que je faisais Ă  la maison. Mais je me suis rendu compte que les pains sont plus industriels avec des levures industrielles. C’Ă©tait une sorte de dĂ©ception. J’ai donc dĂ©cidĂ© de chercher de trĂšs bonnes boulangeries Ă  Paris ; j’ai fait beaucoup de recherches, et je me suis beaucoup baladĂ©. J’ai fait une petite liste des boulangeries qui font du pain au levain. Et je suis allĂ© les voir une par une pour leur demander si elles embauchaient.

 

J’ai fait un stage chez Pane Vivo en dĂ©cembre 2020 et j’ai fait quelques extras avant de devenir boulanger junior en fĂ©vrier 2021. Au dĂ©but, c’Ă©tait difficile car je ne savais travailler qu’avec du blĂ© tendre, j’ai donc dĂ» me rĂ©adapter Ă  la farine de blĂ© dur. J’avais lu beaucoup de livres sur le levain et la thĂ©orie [‘Tartine Bread’ de Chad Robertson, ‘Bread’ de Jeffrey Hamelman et ‘Flour Water Salt Yeast’ de Ken Forkish]. Donc il s’agissait juste de mettre en pratique et d’apprendre Ă  le faire plus rapidement. Chez Pane Vivo, ce n’est pas toujours aussi relaxant. Mais quand je suis avec la pĂąte, je suis juste dans ma tĂȘte avec mes pensĂ©es, je fais juste du pain, et je me dĂ©tends. Pour moi, faire du pain est comme une forme de mĂ©ditation. C’est une façon de se dĂ©tendre, de se relaxer parce qu’il faut avoir du temps pour faire du pain au levain.

 

Maintenant, Gonzalo envisage maintenant de passer dĂ©finitivement de l’industrie du vin, oĂč il travaillait Ă  Buenos Aires, Ă  la boulangerie.

 

Je voulais retrouver un emploi dans le secteur du vin, mais c’Ă©tait difficile car mon français n’est pas trĂšs bon. J’ai donc dĂ©cidĂ© d’essayer un nouveau mĂ©tier : boulanger. C’est un travail physique, mais je vais y rester pendant un certain temps. Pour l’avenir, je suis ouvert.